D’où Naomi Osaka paye notre allergie au consentement ?

Naomi Osaka a refusé de faire quelque chose que d’autres ont très envie qu’elle fasse. Et c’est inaudible, inacceptable. Le traitement médiatique de ce refus est édifiant. Parce que si certain·es ânonnent maintenant fièrement, l’index levé, « non : c’est non », comprendre que le consentement est une question de respect plus englobante c’est genre pas gagné du tout.